Vu en octobre 2002
Avec Anthony Hopkins et Edward Norton
En résumé :
Dragon Rouge
Pour
les fans d'Edward Norton comme moi, c'est la joie de le revoir dans un nouveau
registre.
Je n'ai pas grand chose à dire sur un film déplaisant que je
suis allé voir par erreur. L'histoire est un peu confuse (on ne nous
explique pas par exemple comment le tueur a fini par s'identifier au tableau
Le Dragon Rouge).
Je m'amuserais presque de voir les Américains tourner des films à
la gloire de cinglés répugnants, sous un vague habillage psychologico-policier,
et s'étonner qu'un cinglé assassine des gens sans raison aux
stations services.
Je regrette d'avoir vu ce truc, même pour Edward Norton (quant à Anthony Hopkins, il devient aux cannibales ce que Fernandel fut au curé italien : une réussite qui dure... trop longtemps!).