Lorsqu'en 1874, Séré de Rivières conçoit ses forts, une voûte puissante en maçonnerie, permet encore de répartir la puissance de l'explosion et d'en atténuer les effets. L'épaisseur de la pierre est importante. Mais la position de la caponnière au fond du fossé rend l'éclatement d'un obus dessus beaucoup plus rare que sur le dessus du fort.
L'introduction de l'"obus torpille" après 1885 rend la caponnière plus vulnérable. L'éclatement d'un obus peut raisonnablement "ouvrir" la caponnière. Aussi, ici, à Dongermain, elle sera renforcée d'une dalle de béton. Ailleurs, elle sera souvent purement et simplement remplacée par des coffres situés dans la contrescarpe.